Collaboration avec les poissons de récif en Polynésie française
Les premières perles ont été récoltées en Polynésie française en 1961. Au cours des cinq dernières décennies, l’industrie a connu une croissance considérable. L’un des atolls les plus actifs dans la production perlière polynésienne est Ahe, dans l’archipel des Tuamotu. En 2010, cet atoll comptait 57 perliculteurs travaillant sur 1055 ha de concessions marines, dont 8 % de la zone du lagon était utilisée pour la culture commerciale des huîtres perlières.
La ferme perlière de Kamoka, sur l’île d’Ahe, est pionnière en matière de perliculture responsable et préconise des méthodes visant à réduire l’impact de la perliculture sur l’écosystème. L’une de ses réalisations a été d’utiliser des poissons de récif pour éliminer les salissures biologiques des huîtres, une opération qui doit être effectuée toutes les deux semaines pour assurer une croissance saine des huîtres.
Nous avons mené une expédition de recherche pour étudier l’impact des fermes perlières sur les populations de poissons de récif. Une vidéo de cette expédition de recherche financée par la National Geographic / Waitt Foundation en 2012 est disponible ici.
Impact
Rather than using mechanised technology for regular cleaning of oysters, the farm has chosen to build reef fish cleaning stations on its concessions. The biofouling offers food to reef fish and reduces the need for high-pressure jet cleaning of oysters. The farm protects reef fish and has built up synergies with reef fish populations to reduce the impacts of its pearl farming activities.
Pour de plus amples informations sur l’exploitation de Kamoka Pearls, veuillez consulter le site www.kamoka.com.
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